À propos de Eloise Malcourant

Eloïse Malcourant est journaliste de formation. Elle est actuellement chargée de communication et responsable éducation permanente à la Fédération des Centres de Planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes où elle s'occupe plus spécifiquement de la thématique relative à l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Sa formation de journaliste et son expérience en éducation permanente l'amènent à développer un regard critique sur les réalités sociétales et l'actualité en lien avec la vie affective, relationnelle et sexuelle.

Regression en matière de violences intrafamiliales en Russie

Jeudi 12 janvier 2017, la Chambre basse du Parlement russe, la Douma, a approuvé en première lecture un projet de loi dépénalisant les violences physiques commises au sein du couple ou de la famille, envers un parent, un-e conjoint-e ou un enfant. Seul un député a voté contre ce projet, 368 pour et un était absent...

Nous défendons une liberté de dénoncer, indispensable au respect de nos droits

Mardi 9 janvier, le Monde publiait une tribune attaquant le mouvement « MeToo » intitulée « Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle ». Cette tribune, signée par un collectif de femmes françaises, est un condensé d’arguments non fondés qui caricature les positions féministes. Nous détaillons ci-dessous certaines de nos objections aux propos avancés dans cette tribune.

Les mesures budgétaires anti-femmes : la pilule ne passera pas!

En tant qu’associations féministes, les Femmes Prévoyantes Socialistes (Soralia) et Sofélia (Sofélia-Soralia) s’indignent des mesures budgétaires présentées par le gouvernement Michel...

Par |18 octobre 2017|Catégories : Communiqués de presse|Mots-clés : |

Campagne 2017 : Fifty-Fifty – La contraception, c’est l’affaire des deux partenaires

Parce qu’il existe actuellement un plus grand choix de moyens contraceptifs féminins que masculins, beaucoup considèrent que la contraception concerne uniquement les femmes. Or, la contraception est une affaire des deux partenaires. Et c’est justement ce partage des responsabilités en matière de contraception que met en évidence la campagne de Sofélia.

L’égalité… sans sous?

À partir du 1er janvier 2017, l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes, organisme public, n’octroiera plus de subsides aux associations actives en matière d’égalité des genres ou aux projets ayant pour finalité la réalisation de l’égalité des genres. Cette décision du gouvernement fédéral fait suite aux mesures d’économie qui touchent toutes les institutions publiques...

Par |14 juillet 2016|Catégories : Communiqués de presse|

Non, la pilule du lendemain n’est pas une pilule abortive!

En tant qu’association féministe et laïque militant pour le droit à disposer de son corps, la Fédération des centres de planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes souhaite réagir aux propos tenus le premier juillet dans la Dernière Heure par Monsieur Vannes, pharmacien à Leeuw Saint-Pierre. Ce dernier refuse de vendre des pilules du lendemain et déclare que celles-ci « sont des saloperies, elles tuent les bébés et je ne veux pas être le complice d’un meurtre »...

Non, Monsieur Erdogan, la contraception n’est pas une trahison!

En tant qu’association féministe et laïque militant pour le droit à disposer de son corps, la Fédération des centres de planning familial des Femmes Prévoyantes Socialistes s’oppose fermement aux propos tenus hier par le Président turc Recep Tayyip Erdogan qui a déclaré « on nous parle de contraception, de planning familial. Aucune famille musulmane ne peut avoir une telle mentalité »...

Attribuer un statut au foetus, une attaque au droit à l’IVG

Les débats concernant la déclaration des « enfants mort-nés » sont relancés à la Commission Justice de la Chambre des représentants. En tant qu’associations féministes militant pour le droit à disposer de son corps, les Femmes Prévoyantes Socialistes et Sofélia souhaitent rappeler que nous refusons tout statut pour le fœtus...

L’avortement n’est pas un crime : sortons-le du Code pénal!

Cela fait 40 ans que les mouvements féministes portent cette même revendication : sortir l’IVG du Code pénal belge ! Il y a 26 ans, pour obtenir le vote de la loi Lallemand-Herman-Michielsens, les féministes ont dû faire cette concession aux anti-choix et accepter de ne dépénaliser que partiellement l’avortement, en laissant les articles dans le Code pénal qui détermine les crimes et délits. Non, avorter n’est pas un délit...

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